A propos OKIYO
OKIYO signifie « réveille-toi », « active-toi ». OKIYO s’articule autour de l’évocation de la nature, du cycle des saisons, du temps qui passe et qui demeure, dont témoignent aussi les mythes, contes et traditions populaires. Le haïku, né de l’évocation de la nature et des saisons, était donc la forme poétique la plus adaptée par laquelle nous avons souhaité créer un pont entre les musiques traditionnelles d’Asie et nos auteurs français d’hier et d’aujourd’hui, dont Coulomb, Roussel et Debussy. Parmi les œuvres enregistrées, trois pièces de Laurent Coulomb : [1] Cinq Saisons de Bashō op. 43, pour soprano, flûte et harpe ; [2] Sept Esquisses mythologiques op. 54, pour soprano flûte et harpe ; [3] Cinq Portraits féériques op. 55, pour soprano, alto à cordes et harpes. On trouvera également trois arrangements de Laurent Coulomb : Deux Poèmes chinois op 12 d'Albert Roussel, pour voix flûte et harpe ; Ochiba (Chanson d'Automne) de Kunihiko Hashimoto, pour voix, alto et harpe ; Kotbaram, traditionnel coréen, pour voix, flûte et harpe.